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Une étudiante vétérinaire Lyon, Alix Constant, apicultrice, a un projet de thèse sur les résistances à l'amitraze et l'acide oxalique.
Elle recherche des apiculteurs ne traitant pas leur ruches avec de l"amitraze depuis des années, soit en bio ou en technique bio, pour collectionner des varroas à priori sensibles à cet acaricide.
Elle recherche aussi des apiculteurs n'ayant jamais traité leurs ruches à l'acide oxalique.
Ci joint ICI sa demande détaillée.
Merci pour elle de votre aide
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Un échange très instructif sur le PCR a été partagé par le GNTSA (Groupement National des Techniciens Sanitaires Apicoles) lors de leur dernière AG.
L'expérience de l'invasion du PCR à la RÉUNION puis au QUEBEC est riche d'enseignements partagés par deux vétérinaires coordonnateurs de la lutte. VOIR ICI
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La FREDON BFC et la FRGDS ont organisé un webinaire très instructif sur la version 2024 du plan national de lutte contre le FA.
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Face aux difficultés de vente du miel, la promotion de la qualité de son miel est un argument important de vente pour le consommateur. Encore faut-il le faire savoir au consommateur et le prouver.
Un étiquetage clair, complet et informatif est un maillon capital dans cette démarche. Outre les mentions légales, je marque aussi mon numéro SIRET et la date de récolte. Ces dernières mentions renforcent la transparence de votre travail.
L'analyse de son lot de miel est un argument de poids montrant sur quelle fleurs nos abeilles ont butiné (au moins en analyse qualitative) et démontre la qualité de son miel (humidité, taux bas ou nul d'HMF, activité enzymatique de l'amylase): elle indiquera que ce miel n'a pas été réchauffé à outrance ou qu'il n'est pas resté des années en cuve.
On rappelle que les mentions de typage de miel (acacia, ronce, tournesol, forêt etc) doivent avoir été validées au préalable par une analyse quantitative plus poussée exigible en cas de contrôle de la DGCCRF. (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes)
Le SACO a sélectionné de ce laboratoire vous fournissant une analyse basique pour moins de 50 euros (un peu plus avec amylase). Vous devez bien cocher sur le bon de commande la demande d'aide Agrimer (automatiquement gérée par le laboratoire) à condition d'envoyer aussi une photocopie de votre attribution Siret et la dernière déclaration annuelle de rucher.
Une étiquette sous forme de QR code peut contenir l'analyse de votre lot et/ou décrire votre rucher, un moment agréable au petit déjeuner à partager avec le consommateur.
Tout est ICI pour la créer.
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Depuis plusieurs mois, nous avons échangé des courriers avec la MSA BFC sur des cotisations solidaires indues par des apiculteurs amateurs possédant moins de 50 ruches. Nos syndicats nationaux ont été alertés eux aussi par d'autres situations similaires.
Suite à l'action de l 'UNAF, un courrier du médiateur de la MSA national nous a donné raison. Nous continuons d'aider localement les apiculteurs concernés dans les démarches légales de contestation.
L'UNAF rappelle son mode calcul:
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Nombre de ruches détenues ÷ 200 ruches = X de SMA Nombre d’heures d’activités de prolongement ÷ 1200 heures = Y de SMA X + Y = Z de SMA Transformez ce ratio en % Si Z est inférieur à 25% (1/4 de la SMA), vous n’êtes pas cotisant de solidarité. |
Le SNA contacté via Frank Alétru est encore plus radical dans ce calcul et n'inclut aucune notion d'heures d'activité de complément: dès lors que vous avez moins de 50 ruches, vous n'auriez pas à être cotisant solidaire.
Cependant, malgré toutes ces expertises, notre MSA régionale BFC persévère étonnamment pour l'instant à se baser sur un mode de calcul uniquement en heures, ce qui lui permet d'identifier quant même une cotisation solidaire malgré un nombre de ruches largement inférieure à 50 colonies.
Les adhérents ont été informés par mail et dans nos réunions sur ce mode de calcul et nous vous invitons à rester vigilants sur vos déclarations.nous vous tiendrons au courant de l 'évolution de ce problème.
